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Irène Martín Morales.-Madrid.- Bateaux électriques-solaires les émissions neutres, qui ne génèrent presque pas de bruit, sont en augmentation, et surgir comme une des options pour lutter contre le réchauffement climatique dans le secteur nautiquefaisant son chemin auprès d’entreprises et d’entités déjà engagées dans les énergies renouvelables, plus respectueuses de l’environnement et de la biodiversité.

C’est un moyen « d’abandonner l’utilisation des énergies fossiles et de contribuer à la lutte contre le changement climatique », en plus le bruit qu’il génère sur les fonds marins est « pratiquement inexistant » et les « déversements d’huile ou de gasoil » sont évités, les chef de programme marine alors vas y écologiste WWF, José Luis García Varas.

R) Oui, García Varas a donné en exemple le WWF Solar, un catamaran qu’une fondation suissepionnier de la navigation maritime à énergie solaireleur ont fait don il y a 12 ans et qu’ils utilisent actuellement pour des campagnes de sensibilisation (plastiques, consommation responsable de poissonoui, entre autres), de recherche Soit nettoyer les fonds.

WWF solaire dans la mer. Image reproduite avec l’aimable autorisation du WWF. EFE/Miguel Murcie

Grâce à l’énergie du soleil, etlWWF Solairede 14 mètres de long Oui capacité jusqu’à 12 passagers, aller vers une vitesse de pointe de 7 nœuds et avoir une autonomie d’environ 18 heuresparfaitement, et fonctionne avec deux moteurs électriques et 65 mmètres carrés de panneaux photovoltaïques de 2×5 KW/h.

Une technologie innovante et respectueuse de l’environnement

La La technologie solaire pour bateaux, innovant et respectueux de l’environnementa favorisé l’apparition ces dernières années d’autres entreprises dédiées au développement de ce type de bateaux.

L’un d’eux est Lasai, une entreprise qui se consacre, exclusivement depuis 2021, à la fabrication et à la vente de bateaux qui fonctionnent à l’énergie électrique et solaireque ce soit à des fins récréatives ou de loisirs, dans les rivières, les lacs ou le littoral.

Concrètement, son modèle maritime atteint jusqu’à 40 KW/h d’« énergie embarquée » et près de 700 W de panneaux solaires, avec une vitesse comprise entre 15 et 17 nœuds et une autonomie de dix heures, environ, avec recharge continue les jours ensoleillés.

« Nous considérons qu’il est très raisonnable d’aller plus lentement, en profitant du voyage sans bruit, sans fumée, ni odeurs », mais en gardant la philosophie « d’être plus attentif à l’environnement et à la durabilité de la planète », explique-t-il. le PDG de Lasai, Gari Tellería, dans une interview avec EFE.

Par rapport aux bateaux traditionnels, selon les estimations, ils atteignent réduire « pratiquement une tonne de dioxyde de carbone (CO2) par an » et supprimez « émissions de monoxyde de carbone, d’oxydes d’azote (NOx) et de particules métalliques« que aussi d’habitude vient de la mer

Aussi, ajoutezet Tellería, incorpore « des matériaux organiques et recyclés », avec des configurations « très peu agressives » avec l’environnement et la biodiversité marinece qui leur permettra de réaliser l’aspiration de devenir d’ici quelques années les leaders européens de la commercialisation de bateaux électro-solaires.

Initiatives similaires sur le marché

le chantier naval Metaltec Navalqui est dans le nautisme depuis 60 ans, a décidé d’innover et intègre depuis huit ans l’énergie solaire dans ses bateaux.

Le directeur de Metaltec Naval, Enrique Arriola, explique à EFE que « ouiNous sommes autonomes en énergie car nous consommons la même quantité que nous produisons avec nos panneaux solaires ».

Sa flotte solaire se distingue par ses « 8 heures de service, silence » à bord, une vitesse de 5 à 6 nœuds, une capacité jusqu’à 120 passagers et leur fabrication à partir de « aluminium recyclable« .

En plus de la technologie et du respect de l’environnement, « nous avons appliqué une dimension culturelle » à ce modèle qui est « une œuvre d’art », puisqu’il est personnalisé par le peintre, sculpteur et designer Óscar San Miguel, connu sous le nom de Okuda, un artiste local à « dimension internationale ».

EcoBus Boat, un catamaran solaire de Metaltec Naval conçu par l’artiste Okuda. Fourni par Metaltec Naval. EFE/Metaltec Naval

« Le marché commence déjà à montrer un grand intérêt pour ce type de navire », selon Arriola, qui a fait remarquer que ils espèrent que cela « commence à porter ses fruits ».

Avenir durable dans le secteur

ETil est responsable du programme marin Le WWF a identifié, en plus des investissements dans l’énergie solaire, d’autres tels que l’énergie marémotrice et éolienne -qui peuvent être combinés entre eux-, parmi les solutions les plus attendues et les plus respectueuses de l’environnement.

« Des projets commencent à se développer pour tenter de décarboner ce secteur », une « avancée importante a déjà été constatée à Barcelone, aux Baléares, entre autres lieux » et « il n’y a pas de retour en arrière, la société est de plus en plus consciente » sur la protection de l’environnement, c’est fini. EFEvert